Ce Qu'on A Aimé...
Cités elfiques très jolies
Immense carte du monde
Ambiance sympathique
... et ce qu'on a pas aimé
Interactions entre joueurs limitées
Évolution très lente
Visionnez la bande annonce:
Développé par InnoGames, Elvenar a ouvert ses portes aux joueurs français début juin 2015, après une bêta fermée en anglais en février de la même année. Jeu de construction de ville somme toute classique, Elvenar propose au joueur d'incarner au choix l'une des deux races du jeu, les humains ou les elfes, et de développer une petite ville pour en faire un joyau au rayonnement mondial.
Chaque race possède ses propres caractéristiques, qui se retrouvent dans l'aspect esthétique des bâtiments, mais également dans la nature et la fonction de ceux-ci. Les elfes vous offriront une ambiance résolument magique, là où les Humains vous proposeront une architecture plus médiévale.
Elvenar propose différents types de, bâtiments. Vous pourrez ainsi, en passant par les constructions de base, construire des résidences pour accueillir vos citoyens, tout en bâtissant des ateliers pour obtenir plus de matériaux. Mais les bâtiments militaires ne sont pas en reste, et il vous faudra construire casernes et armureries pour constituer votre armée.
Car Elvenar ne se joue pas seul dans son coin. La carte du monde offre la possibilité d'interagir autant avec des PNJ que d'autres joueurs établis à proximité de votre base. Les provinces, gérées par le jeu, vous proposent huit points d'exploration. Vous aurez alors le choix de négocier moyennant finances, ou d'attaquer, au risque de perdre. Vous obtiendrez, en cas de victoire ou de négociation réussie, de précieuses reliques qui vous permettront ensuite de booster la production d'une marchandise. Vous pourrez également interagir avec d'autres joueurs et former avec eux des Confréries.
Si Elvenar, au départ, est un jeu agréable avec une ambiance bien particulière, très bien rendue par les choix graphiques, il se révèle cependant parfois très répétitif. Les évolutions de bâtiments importants sont lentes, de même que la production des meilleurs matériaux, et seul le recours à la monnaie réelle du jeu parviendra à accélérer les choses, même si des quêtes vous permettront de vous renflouer régulièrement. Elvenar trouvera écho auprès des amateurs de fantasy, mais aura peut-être du mal à ne pas lasser rapidement les autres.
Ce Qu'on A Aimé...
Une expérience authentique de Game of Thrones
une jouabilité rafraîchissante et des graphismes superbes.
... et ce qu'on a pas aimé
Cash shop intrusif
difficile pour les joueurs solos.
Visionnez la bande annonce:
Game of Thrones : Winter Is Coming est le jeu par navigateur sous licence officielle de Game of Thrones, avec de nombreux lieux et personnages tant appréciés des fans de la série télévisée.
Le jeu est authentique, amusant et constitue un véritable défi.
La construction de royaumes est ce que vous ferez le plus, mais il y a aussi des éléments de gameplay très bienvenus et intéressants comme les batailles en 3D en temps réel (dans le style d'un jeu MMORTS).
Les graphiques sont phénoménaux et la bande sonore est à la hauteur de celle, incroyable, de la série télévisée.
Bien qu'il soit très peu tolérant pour les joueurs solitaires, le jeu brille en groupe grâce à son système d'alliance qui encourage le travail d'équipe pour atteindre la fin du jeu et régner sur le trône de fer.
Dans l'ensemble, c'est un solide jeu par navigateur free-to-play que tout fan de la série télévisée devrait au moins essayer.
Ce Qu'on A Aimé...
Graphiques modernes
atmosphère amusante et décontractée
puzzles !
... et ce qu'on a pas aimé
Certaines fonctionnalités doivent encore être améliorées (le jeu est en bêta ouverte).
Genre: guerre, action, jeu de tir
Ambiance: sci-fi
Graphismes: full 3D
PvP: guilde ou factions PvE PvP tous contre tous
Hawked est un jeu de tir en ligne free-to-play sorti (en bêta ouverte) en novembre 2023.
Il catapulte les joueurs au cœur du chaos indompté de X-Isle, mêlant humour, chaos et le frisson de la chasse au trésor.
La force du jeu réside dans son gameplay dynamique : pillage, amélioration de l'équipement et batailles stratégiques contre les Disciples contrôlés par l'IA et les Renégats contrôlés par d'autres joueurs. La carte, bien que remplie de lézards, offre suffisamment d'espace pour explorer, s'équiper et résoudre des casse-tête parfaitement intégrés à l'environnement.
Bien que l'esthétique emprunte beaucoup aux tendances populaires, les bizarreries et les charmes du jeu éclipsent tout manque d'identité distincte. Les mécanismes de mouvement et le maniement des armes à feu doivent être améliorés, mais l'expérience globale laisse entrevoir le potentiel d'un joyau du jeu.
Ce Qu'on A Aimé...
Design des héros
Graphismes superbes
Le côté "collection"
... et ce qu'on a pas aimé
Gameplay un peu trop simplifié
Cash shop un peu invasif
Manque de customisation
La traduction
Visionnez la bande annonce:
Après un premier opus sorti en 2013 sur PC, puis une édition mobile, Fire Raiders, League of Angels revient sur le devant de la scène, sous le titre on ne peut plus évocateur de League of Angels II. Déjà salué par la critique pour le premier opus, Youzu Interactive tente de renouveler l’exploit avec une suite de son célèbre RPG sur navigateur.
League of Angels II (LoA II) reprend quelques-uns des principes de son illustre prédécesseur, mais propose aussi son lot de nouveautés. Vous incarnez un héros que vous aurez créé à votre première connexion et partez à l’assaut d’un monde rongé par le mal. Vous rencontrerez en chemin des héros et des anges corrompus ou hostiles, qu’il vous faudra alors purifier. Ces anges et héros, une fois sauvés, rejoindront votre équipe et se révéleront de puissants alliés, dont il faudra mettre à profit les compétences.
Servi par des graphismes superbes grâce à un tout nouveau moteur 3D, LoA II est un plaisir pour les yeux, et les designs des personnages sont magnifiques.
Malgré un gameplay qui deviendra à la longue répétitif, car peu interactif, LoA II est un jeu plaisant, où l’envie de collecter de nouveaux personnages, toujours plus puissants, saura compenser un côté pay-to-win parfois agaçant, et une automatisation des commandes retirant toute initiative, ou presque, aux joueurs.
Ce Qu'on A Aimé...
Des niveaux de tir amusants de style arcade
de bons graphiques.
... et ce qu'on a pas aimé
Une campagne PvE trop courte
des niveaux peu profonds
un cash store agressif avec des popups publicitaires.
Left To Survive est un jeu de tir à la troisième personne free-to-play qui intègre des mécanismes de tir inédits de style arcade avec un mode de jeu secondaire qui implique la gestion de base, dans un monde post-apocalyptique rempli de zombies.
Les joueurs joueront à travers une campagne PvE guidée par l'histoire qui contient de nombreux niveaux différents où votre adresse au tir avec diverses armes sera mise à l'épreuve.
La collecte de ressources et la construction de votre base sont les principales méthodes de progression, car vous avez besoin d'armes et d'armures plus puissantes pour vous attaquer à des missions plus difficiles. D'autres contenus de jeu comme les batailles JcJ sont proposés en plus de la personnalisation de votre personnage.
Bien que le jeu soit gratuit, la boutique en ligne peut être gênante, mais dans l'ensemble, c'est un jeu amusant qui offre un voyage nostalgique, notamment en raison de son aspect arcade.
Ce Qu'on A Aimé...
La personnalisation de vos méchas est très amusante. Des batailles JcJ au rythme effréné Une communauté en pleine expansion De nombreux tournois et événements
... et ce qu'on a pas aimé
Graphismes non prétentieux
Genre: guerre, action, jeu de tir, simulation
Graphismes: œuvres d'animation
PvP: guilde ou factions matchs ou duels PvP
Mech Arena est un jeu de tir JcJ rapide avec des compétitions pour tout le monde.
Choisissez parmi des dizaines d'armes et de méchas aux capacités spéciales pour des combinaisons infinies. Combattez avec vos amis ou rivalisez dans une arène mondiale de joueurs, de cartes et de modes.
Affrontez le monde dans le sport le plus explosif, le plus amusant et le plus chaotique que l'avenir puisse vous offrir : Mech Arena.
Ce Qu'on A Aimé...
Musique agréable
Gameplay basé sur des combos
... et ce qu'on a pas aimé
Graphismes pauvres
Manque d'originalité
Aspect technique
Metin 2 n’est plus tout jeune. Sorti en 2004 en Corée, il a débarqué en France en 2007. Aussi apparaîtra-t-il peut-être difficile de juger aujourd’hui un jeu d’hier. Mais pourtant, dès sa sortie, Metin 2 a essuyé de vives critiques, de ses graphismes assez pauvres à son scénario limité. Si les graphismes sont désormais bien évidemment dépassés, il reste que les défauts intrinsèques du jeu sont toujours là : gameplay poussif et répétitif, cartes sans intérêt, histoire sans relief bourrée d’incohérences, patte artistique proche du néant…
Metin2 vous plonge dans un univers découpé en trois empires. Vous devrez faire allégeance à l’un d’eux, avant de choisir une classe (5 au total). Côté personnalisation, n’en espérez pas plus. Le gameplay, quant à lui, n’a rien de révolutionnaire (et c’était déjà le cas à l’époque) : des compétences à utiliser, des combos (mais seulement à partir d’un certain niveau), et des points de statistiques à répartir.
Le jeu offre quelques activités annexe, comme l’artisanat, le PVP ou encore des donjons, mais tout ceci ne vous sera accessible qu’à partir d’un certain niveau à chaque fois. À vous donc les séances de grind pénibles dans l’espoir d’atteindre le niveau requis. Le tout dans un environnement assez laid et pauvre techniquement parlant.
Metin2, plus encore aujourd’hui, aura donc bien du mal à convaincre les nouveaux joueurs. De l’eau a coulé sous les ponts depuis 2007, et le monde du MMORPG n’est plus ce qu’il était. Metin2 vaudra alors peut-être le coup, par une nostalgie un peu étrange, mais les joueurs passeront sans doute très vite leur chemin pour lui préférer des titres beaucoup plus récents et moins rébarbatifs.
Ce Qu'on A Aimé...
... et ce qu'on a pas aimé
Ce Qu'on A Aimé...
Bon scénario
15 classes et sous-classes
missions complexes
... et ce qu'on a pas aimé
Graphismes corrects
Incohérence avec l'ambiance générale du jeu
Le monde de NosVille est plongé dans le chaos. Votre personnage, lui, possède d’énormes pouvoirs et des compétences de combats pour y apporter la paix.
Vous aurez, pour vous épauler, un certain nombre de NosMates (des personnages dirigés par l’IA), ainsi que des familiers. Durant le jeu, vous débloquerez de puissantes cartes, qui vous donneront de nouvelles compétences.
NosTales propose pas mal de classes uniques, accompagnées de leurs sous-classes. Chaque personnage possède des capacités spéciales, en fonction du groupe dont ils proviennent. Pour rendre le jeu moins ennuyeux et plus amusant, vous pouvez également dresser vos familiers et les impliquer dans des missions.
NosTales offre donc énormément d’activités et promet d’être une aventure palpitante.
Ce Qu'on A Aimé...
Prenant
Bien construit
Communauté impliquée
... et ce qu'on a pas aimé
Parfois décourageant
Interface peu engageante
OGame, jeu de simulation de stratégie spatiale sur navigateur, séduit les joueurs du monde entier depuis plus de dix ans déjà. Développé par Gameforge, le titre nous entraîne dans un jeu de gestion à l’échelle de l’espace.
OGame est complexe, c’est indéniable. Le joueur débute sur sa planète-mère, avant de commencer à se développer via la fabrication de ressources, au nombre de trois. Votre but sera de bâtir une colonie puissante, qui servira d’appui à votre conquête de l’espace. Les mécaniques sont somme toute classiques : améliorez toujours plus vos diverses structures pour augmenter vos capacités de production, débloquer de nouveaux bâtiments ou soutenir votre armée.
OGame demande une bonne dose de stratégie et de patience, et les novices pourront, au départ, se retrouver perdus. Le jeu est difficile, un peu âpre d’accès, mais sa complexité fait aussi sa force. En plus de vos ressources, vous pourrez développer une flotte spatiale, qui sera à votre disposition pour élargir vos frontières et vous confronter à d’autres Empires.
Les graphismes sont limités, et pour cause. Tout se fait à partir de tableaux un peu austères, et ce ne sont pas les illustrations qui pourront égayer le tout.
OGame fait partie de ces jeux qui se méritent. Seuls les plus persévérants y trouveront leur compte. Les autres se perdront en cours de route, lassés.