Armez-vous et partez à la conquête d'Eyrda, un monde qui pour une fois, possède un vrai scénario et qui permet vraiment une immersion.
Sorti en 2011, Forsaken World a pris le risque de se frotter à une concurrence acharnée qui est très présente dans le milieu des jeux gratuits. Il part cependant rapidement du mauvais pied car il est plutôt classique, même si les fonctionnalité qu'il propose sont bien travaillées, il ne propose rien d'extraordinaire.
Le rapprochement avec World of Warcraft est inévitable, mais il arrive quand même à imposer son propre monde et univers. Petit point positif pour ce titre, il est possible d'avancer en jeu sans devoir farmer.
Son autre et presque seul véritable point fort se situe dans sa finition. Les bugs sont quasiment inexistant et on sent que le titre a bien été travaillé.
Malheureusement, comme déjà dit, le titre ne propre rien de nouveau, avec un système de quête et de combat vu et revu. Le jeu a cependant su maintenir son petit succès et possède son lot de joueurs fidèles au jour d'aujourd'hui. Il vaut vraiment la peine d'être essayé.
Forsaken World est un MMORPG développé par Perfect World en 2011 et qui a fièrement affiché ses ambitions pour devenir l'un des meilleurs jeux gratuits du moment, mais qu'en est-il vraiment ?
Avant tout, il faut préciser que pour une fois, un free-to-play possède un vrai scénario. Il est très détaillé et spécialement pensé pour les joueurs aimant s'immerger. Le scénario tourne autour des origines et de la chute de deux dieux Dyos et Nyos. Je cite le début de l'histoire officielle :
Dyos découvrit un monde dans l’univers et l’appela ‘Eyrda’. C’était un endroit morne avec seulement un arbre géant reliant le ciel à la terre. Dyos découvrit une étoile en forme de roue au sommet de cet arbre. Il y avait aussi d’innombrables étoiles étincelantes et Dyos y vit des portraits de dieux! Dyos ne vit pas seulement sa propre image mais celle de Nyos aussi.
La rencontre de cette chose inconnue en forme de roue et la vue d’autres formes le remplirent d’une faiblesse ignorée. Après sa découverte de la roue, Dyos continua à vivre à Eyrda une autre dizaine de millions d’années, pendant ce temps il essaya de comprendre la roue, mais il était incapable de découvrir ses secrets. Pendant ces dix millions d’années, il fit appel à d’autres dieux pour intégrer Eyrda dans un merveilleux monde en plein essor. Enfin, Dyos quitta ses trois enfants, Tytan, Illyfue et Vyda, et leur fit don d’Eyrda. Son souhait de départ fut qu’ils s’occupent et prennent soin de ce monde comme il l’aurait fait lui – même. Puis Dyos partit d’Eyrda pour continuer son voyage à travers l’univers.
Une fois le jeu téléchargé, il faudra créer son personnage. D'abord en choisissant sa race dans un choix de six races qui sont les humains, les elfes, les nains, les kindred, les pétrans et les lycans.
Une fois ce choix fait, il faudra choisir l'une des huit classes disponibles. Soit assassin, mage, prêtre, guerrier, barde, fusillier, petran ou vampire. Certaines classes ne sont disponibles que pour certaines races donc faite bien votre choix.
Il faudra enfin personnaliser notre personnage. Personnaliser est un grand mot pusqu'en fait on aura le choix de seulement modifier le sexe, le visage et la coiffure. Du coup, malgré le nombre important de races et classes, il n'est pas rare de croiser son clone en jeu.
Notre expérience en jeu pourrait se résumer à deux mots : Monster Bashing, mais non ! En effet, les quêtes ne sont pas forcément abondantes mais sont présentes et offrent pas mal d'expérience.
Les quêtes que l'on peut trouver sont plutôt originales, qui nous demandent parfois d'aller espionner un clan sans se faire remarquer, aller délivrer un message etc... Et si cela vous semble répétitif à la longue, dites-vous qu'ils ont au moins fait l'effort de ne pas nous demander d'aller tuer tel nombre de tel monstre. Et au pire, il y à toujours le Monster Bashing.
Une fois arrivé au niveau 10, il sera possible (lire indispensable) de choisir un ou plusieurs jobs en plus de notre classe. On peut donc devenir botaniste, cuisinier ou alchimiste au départ par exemple, pour débloquer ensuite d'autres jobs par palier de 10 niveaux, comme par exemple la création d'armures. Evidemment chaque métier évolue indépendement d'un autre et il faudra souvent s'assurer de réunir les bons ingrédients pour arriver à nos fins.
On aura aussi la possibilité de posséder un familier qu'il faudra nourrir et qui nous aideront au combat. En plus de tout ça, on peut aussi posséder une monture, disponible à partir du niveau 20.
Jusque-là tout semble très classique, mais Forsaken World cache bien son jeu, puisqu'il inclus un système de prière qui nous permet d'obtenir de l'expérience et des bonus plusieurs fois par jour.
Forsaken World est un jeu très propre graphiquement, même si les détails ne sont pas de hauts niveaux, ils sont bien travaillés, avec l'environnement et les diverses textures du jeu.
On regrette la faible personnalisation du personnage. On a la possibilité d'acheter des vêtements rares dans le Cash Shop pour se différencier de nos clones, d'ailleurs un petit mot sur celui-çi, le Cash Shop içi est très peu présent et n'influe en rien sur l'évolution directe du personnage.
Niveau bande son, le jeu nous met à disposition des ambiances sonores qui correspondent aux environnements qui leurs sont propres mais ils ne vont pas nous rester en tête non plus.
Globalement, il peut nous faire penser à World of Warcraft ou à son frère, Perfect World, créé par le développeur qui porte le même nom.
Forsaken World a pris le risque de se frotter à la concurrence, même s'il reste plutôt classique. Le jeu possède cependant son propre univers et est très propre visuellement et techniquement, puisqu'il ne contient quasiment pas de bugs. Dommage aussi que les développeurs ne se soient pas attardés sur la personnalisation du personnage, mais sinon, le jeu est très bien et vaut le détour.
Prêt à entrer dans le monde de Forsaken World? Cliquez ici pour jouer maintenant!Ce Qu'on A Aimé...
Un bon nombre de classes et de races
Des graphismes propres
Beaucoup de fonctionnalités
... et ce qu'on a pas aimé
L’éditeur visuel du personnage dépassé
Evolution du personnage très simple
Ce qu'on a aimé...
... et ce qu'on a pas aimé
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